1. Yael Armanet Le 11/07/2017
Pour vous, cher François… C’est l’histoire d’une adolescente rebelle à qui son « nouveau prof de philo ...
2. vera idely cabral Le 26/05/2017
Oh, captain, my captain! La mort de ma mére, la folie de mon frére... et le temps qui passe sans cesse. ...
3. yasar çabuklu Le 19/11/2015
Dear François Warin, I am a Turkish essayist. I came across your web site during my surf on the subjects ...
4. lorenzini patricia Le 13/08/2015
Monsieur, je ne sais si votre site est encore d'actualité. Je connaissais Armelle du temps de Nice, ...
5. Jean-Marc Laffont Le 01/05/2015
Bonjour, Le hasard a fait que ce matin j'ai appris par votre site le décès il y a plus de 6 ans d'Armelle ...
6. THOMAS Le 28/03/2014
C'était déjà un vrai plaisir -même si à l'époque j'assimilais plus cela à de la souffrance mentale- que ...
Jean-Loup Amselle, anthropologue atypique, volontiers critique à l’égard de sa propre discipline, continue de poursuivre son analyse des pathologies de l’Occident et de déconstruire les illusions qui nous portent à fuir un avenir ressenti comme menaçant et à trouver refuge dans un passé mythique et fantasmé. Psychotropiques. La fièvre de l’ayahuasca en forêt amazonienne (2013) recentre l’analyse sur les nouveaux acteurs de l’Amazonie péruvienne qui se partagent le marché mondial de l’angoisse et qui donnent à la pulsion touristique vers le chamanisme des Occidentaux la dimension d’une véritable religion. Nous avons essayé d’interroger la démarche résolument non participante de l’auteur et de montrer la portée et les limites de cette anthropologie à travers laquelle se poursuit un débat qui est celui des Lumières.
François Warin, "Figures et repentirs d’une anthropologie non participante : l’ayahuasca en Amazonie péruvienne.", EspacesTemps.net, Livres, 31.03.2014
https://www.espacestemps.net/articles/anthropologie-non-participante-en-amazonie-peruvienne/